vendredi 31 octobre 2008

Histoire incomplète..

Dans cette ruelle sombre derrière l’ambassade d’Italie il se réveilla. Dans un état second il inspecta les lieux et regarda ses vêtements sales et déchirés et la il commença a se souvenir de ce qui c’étais passé la nuit précédente…

Comme chaque matin, il c’était réveillé a sept heure étourdi des quantités de vin qu’il a bu la soirée précédente, il s’est dirigé vers sa chaîne hi fi pour mettre RTCI et écouter un peut de variétés françaises avants de partir. Il pris sa douche, rasa sa barbe, mis son costume unique et se dirigea vers la porte de son appart qu’il loue au centre ville de Tunis.

Il descendit les trois étages sans ascenseur de l’immeuble qu’il habite rue Athènes et il se dirigea vers la station de bus du Passage en passant par la rue de Salines tout en saluant les commerçants de cette rue qu’il a eu le temps de connaître avec ses quelques années passés a côtés d’eux d’abord comme étudiant et ensuite comme fonctionnaire.

Il pris le bus, remplis comme une boite de sardines, pour le Menzeh la où il travaillé comme agent de comptoir dans une banque.

Arrivé en retard, il subit les humeurs de son patron le chef d’agence, ce derniers étais un homme maigre et chauve très riche et très radin en même temps, il s’est assis dans son poste et commença a travailler.

Dans cette journée du vendredi, il s’est fait appelé par son patron dans son bureau, la secrétaire le fait attendre et là une femme sublime d’une beauté immense rentre dans la pièce et demande a voir le chef d’agence, son mari, notre jeune homme était conquis par la beauté et le charisme de cette bonne femme.

Elle lui lança un regard tendrement attirant et s’est assis à côté de lui.

Une discussion s’engagea entre eux, ils commencèrent à flirter avec les regards et les gestes et la déesse lui remis son numéro de portable dans la main tout en lui murmurant dans l’oreille qu’elle aimera le revoir le soir même pour boire un verre. Le jeune homme n’en revenait pas, lui qui d’habitude n’avait aucune chance avec les femmes, lui qui n’a jamais eu de petite amie au lycée, lui qui devais payer pour « faire l’amour ».

Rentrant chez-lui, il se prépara avec le plus grand soin, emprunta un costume trois pièce a un ami, il se parfuma avec un eau de Cologne bon marché imitation d’une marque célèbre, mis du gel dans ses cheveux et fait briller ses chaussures.

Plus l’heure du rendez-vous approché plus il était sur les nerfs. A neuf heures du soir, notre jeune homme pris le TGM et se dirigea vers Sidi Boussaid où le rendez-vous était fixé a dix heures trente dans le restaurent « le bon vieux temps ».

Il arriva à l’heure et il vit la jeune dame…

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