Elles sont rares les journées normales dans la vie d’un homme...
Elles sont rares les journées normales dans la vie d’un homme. Les jours où il sort de sa cage d’humanité… pour devenir un oiseau.
Une journée… ou une demi-journée… peut-être… dans toute sa vie où il sort de sa rivière étroite, pour pratiquer sa liberté, pour dire ce qu’il veut… pour faire ce qu’il veut… pour aimer qui il veut quand il le veut.
Il est rare qu’un homme arrive au top de sa liberté, qu’il sorte du coffre fermé a clef qui représente, en réalité, la monotonie de sa vie régulière combiné au relations sociétales qu’il entretien, pour… pour aimer tout simplement.
L’homme est plein de liberté, mais il n’est pas aussi libre qu’il le pense. Il n’est même pas libre dans sa prière avec ses mains, ses lèvres, ses vêtements, ses paroles et ses discussions régulières.
Si je t’écrit a propos de ce jour anormale c’est que je ne sent pas que je me suis libéré, en ce jour, de mon encre et de mon sang… que je me suis évadé du coffre de la société et de la tanière du passé pour vivre ma liberté comme la vie n’importe quel oiseau sauvage dans la nature.
J’aimerai monter avec toi, même pour une seule fois, le train de la folie… Un train qui oubli ses quais, ses railles et les noms de ses passagers.
Quand je t’écrit je me sent libre… je me sent léger comme un oiseau mythique qui n’aurait pas de poids… Quand je t’écrit je me sépare du temps… je me sépare de l’attraction terrestre et je m’envole… je m’envole et je gravite comme un astre dans la galaxie, dans l’univers de tes yeux.
De l’espace, l’homme perçoit ses sentiments d’une autre manière. Les sentiments se libèrent de la poussière de la terre, de sa gravité, de ses lois… L’amour devient une balle de coton sans masse.
Ah ! L’amour, quel sentiment étrange. Ce papillon incroyablement beau qui s’installe sur nos épaules, ce poisson doré qui sort de la mer, cette étoile toute bleue qui nous tends ces bras.
Avant de te parler j’étais daltonien, mais maintenant je commence à distinguer les couleurs de la vie. Mes sentiments sont arrivés à un point de non retour. Je suis entrain de brûler vif, tu m’as crucifié avec ton regard, tu m’as pendu avec ton sourire...
Excuse ma franchise mais je ne peux plus garder ces mots à l’intérieur de mon c½ur, mon pauvre c½ur qui n’arrête pas de battre exclusivement pour toi.
Tu me demande ce que j’ai fais dans ton absence, mais tu n’as jamais été absente, tu n’as jamais quitter mon esprit et mon c½ur.
Te téléphoner est devenus le seul plaisir que je m’accorde dans ma vie si monotone et si pleine de tristesse, mais te voir, alors là, c’est l’orgasme total.
Je suis partit parler de toi, de mon amour pour toi, à la mer qui, pour la première fois de ma vie, est resté muette comme si elle était jalouse de toi.
J’aimerai avoir des pouvoirs magiques pour figer les courts instants pendant lesquels on ce rencontre, pendant lesquels on discute, pendant lesquels je me sent vivant…
Les anges doivent se prosterner devant toi, même l’ange de la mort a peur de croiser ton regard brûlant, ce regard qui a brûlé les veines de mon corps sur le bûché de l’amour.
Je sais qu’on ne se connaît que depuis peux mais cette complicité m’étonne. On dirait que le destin nous a réservé cette rencontre pour rappeler, à chaque un de nous que la vie vaux la peine d’être vécu.
Pour moi t’est un ange du destin qui a croisé ma route pour sauver mon âme.
Une journée… ou une demi-journée… peut-être… dans toute sa vie où il sort de sa rivière étroite, pour pratiquer sa liberté, pour dire ce qu’il veut… pour faire ce qu’il veut… pour aimer qui il veut quand il le veut.
Il est rare qu’un homme arrive au top de sa liberté, qu’il sorte du coffre fermé a clef qui représente, en réalité, la monotonie de sa vie régulière combiné au relations sociétales qu’il entretien, pour… pour aimer tout simplement.
L’homme est plein de liberté, mais il n’est pas aussi libre qu’il le pense. Il n’est même pas libre dans sa prière avec ses mains, ses lèvres, ses vêtements, ses paroles et ses discussions régulières.
Si je t’écrit a propos de ce jour anormale c’est que je ne sent pas que je me suis libéré, en ce jour, de mon encre et de mon sang… que je me suis évadé du coffre de la société et de la tanière du passé pour vivre ma liberté comme la vie n’importe quel oiseau sauvage dans la nature.
J’aimerai monter avec toi, même pour une seule fois, le train de la folie… Un train qui oubli ses quais, ses railles et les noms de ses passagers.
Quand je t’écrit je me sent libre… je me sent léger comme un oiseau mythique qui n’aurait pas de poids… Quand je t’écrit je me sépare du temps… je me sépare de l’attraction terrestre et je m’envole… je m’envole et je gravite comme un astre dans la galaxie, dans l’univers de tes yeux.
De l’espace, l’homme perçoit ses sentiments d’une autre manière. Les sentiments se libèrent de la poussière de la terre, de sa gravité, de ses lois… L’amour devient une balle de coton sans masse.
Ah ! L’amour, quel sentiment étrange. Ce papillon incroyablement beau qui s’installe sur nos épaules, ce poisson doré qui sort de la mer, cette étoile toute bleue qui nous tends ces bras.
Avant de te parler j’étais daltonien, mais maintenant je commence à distinguer les couleurs de la vie. Mes sentiments sont arrivés à un point de non retour. Je suis entrain de brûler vif, tu m’as crucifié avec ton regard, tu m’as pendu avec ton sourire...
Excuse ma franchise mais je ne peux plus garder ces mots à l’intérieur de mon c½ur, mon pauvre c½ur qui n’arrête pas de battre exclusivement pour toi.
Tu me demande ce que j’ai fais dans ton absence, mais tu n’as jamais été absente, tu n’as jamais quitter mon esprit et mon c½ur.
Te téléphoner est devenus le seul plaisir que je m’accorde dans ma vie si monotone et si pleine de tristesse, mais te voir, alors là, c’est l’orgasme total.
Je suis partit parler de toi, de mon amour pour toi, à la mer qui, pour la première fois de ma vie, est resté muette comme si elle était jalouse de toi.
J’aimerai avoir des pouvoirs magiques pour figer les courts instants pendant lesquels on ce rencontre, pendant lesquels on discute, pendant lesquels je me sent vivant…
Les anges doivent se prosterner devant toi, même l’ange de la mort a peur de croiser ton regard brûlant, ce regard qui a brûlé les veines de mon corps sur le bûché de l’amour.
Je sais qu’on ne se connaît que depuis peux mais cette complicité m’étonne. On dirait que le destin nous a réservé cette rencontre pour rappeler, à chaque un de nous que la vie vaux la peine d’être vécu.
Pour moi t’est un ange du destin qui a croisé ma route pour sauver mon âme.
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