vendredi 3 avril 2009

BarCamp Tunisie

Qu'est-ce qu'un Barcamp?
Définition du Barcamp sur Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/BarCamp

Un BarCamp est une rencontre d'un week-end, une non-conférence ouverte qui prend la forme d'ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp.

C'est le principe pas de spectateur, tous participants. L'événement met l'accent sur les toutes dernières innovations en matière d'applications Internet, delogiciels libres et de réseaux sociaux.

Le principe est “Pas de spectateurs, pas de touristes”.

Tout le monde participe d’une manière ou d’une autre:

  • en présentant un projet,
  • en diffusant de l’information sur le Barcamp (Blog, Photos, vidéos...),
  • en étant volontaire,
  • en parlant du Barcamp sur son blog, site, portail, media...

Le Barcamp est basé sur le principe du partage de connaissances, libre et sans contraintes.

Le lieu, les horaires

  • Date : Le Samedi 9 Mai 2009 à partir de 9h.
  • Lieu : Le barcamp aura lieu dans les locaux du Pôle Technologique d'El Ghazela

  • Agrandir le plan

Thèmes du barcamp

Les thèmes qui seront traités au Barcamp

Organisation

Mehdi Lamloum

contact: barcamp.tunisie at gmail dot com / +216 24 211 663

Liens

jeudi 2 avril 2009

Voici une vielle nouvelle que j'ai commencé il y a quelques années sur un forum (Marhba.com) et ou chacun a mis sont petit grain de sel pour devenir ça :

Moi :
Dans cette ruelle sombre derrière l’ambassade d’Italie il se réveilla. Dans un état second il inspecta les lieux et regarda ses vêtements sales et déchirés et la il commença a se souvenir de ce qui c’étais passé la nuit précédente…
Comme chaque matin, il c’était réveillé a sept heure étourdi des quantités de vin qu’il a bu la soirée précédente, il s’est dirigé vers sa chaîne hi fi pour mettre RTCI et écouter un peut de variétés françaises avants de partir. Il pris sa douche, rasa sa barbe, mis son costume unique et se dirigea vers la porte de son appart qu’il loue au centre ville de Tunis.
Il descendit les trois étages sans ascenseur de l’immeuble qu’il habite rue Athènes et il se dirigea vers la station de bus du Passage en passant par la rue de Salines tout en saluant les commerçants de cette rue qu’il a eu le temps de connaître avec ses quelques années passés a côtés d’eux d’abord comme étudiant et ensuite comme fonctionnaire.
Il pris le bus, remplis comme une boite de sardines, pour le Menzeh la où il travaillé comme agent de comptoir dans une banque.
Arrivé en retard, il subit les humeurs de son patron le chef d’agence, ce derniers étais un homme maigre et chauve très riche et très radin en même temps, il s’est assis dans son poste et commença a travailler.
Dans cette journée du vendredi, il s’est fait appelé par son patron dans son bureau, la secrétaire le fait attendre et là une femme sublime d’une beauté immense rentre dans la pièce et demande a voir le chef d’agence, son mari, notre jeune homme était conquis par la beauté et le charisme de cette bonne femme.
Elle lui lança un regard tendrement attirant et s’est assis à côté de lui.
Une discussion s’engagea entre eux, ils commencèrent à flirter avec les regards et les gestes et la déesse lui remis son numéro de portable dans la main tout en lui murmurant dans l’oreille qu’elle aimera le revoir le soir même pour boire un verre. Le jeune homme n’en revenait pas, lui qui d’habitude n’avait aucune chance avec les femmes, lui qui n’a jamais eu de petite amie au lycée, lui qui devais payer pour « faire l’amour ».
Rentrant chez-lui, il se prépara avec le plus grand soin, emprunta un costume trois pièce a un ami, il se parfuma avec un eau de Cologne bon marché imitation d’une marque célèbre, mis du gel dans ses cheveux et fait briller ses chaussures.
Plus l’heure du rendez-vous approché plus il était sur les nerfs. A neuf heures du soir, notre jeune homme pris le TGM et se dirigea vers Sidi Boussaid où le rendez-vous était fixé a dix heures trente dans le restaurent « le bon vieux temps ».
Il arriva à l’heure et il vit la jeune dame…

Saroukh :
Assise à côté de la fenêtre du resto, un café servi sur la table elle scrute de temps en temps sa montre; c’est alors qu’elle vit notre jeune homme, elle lui fait signe de la main pour lui indiquer sa présence.
Il pousse la porte du resto, un décore romantique où le cuivre et le bois se marient bien ensembles, une lumière fine qui enchante les c½urs et une musique douce qui apaise les esprits.
En entrant, le barman en essuyant les verres avec une serviette, lui fait signe de bienvenue.
Il s’avance entre les tables, son c½ur bat très vite, les quelques mètres qui le séparent de sa déesse, lui semblent une éternité.
Il s’approcha d’elle, lui tendit la main pour la saluer , mais elle se leva et l’embrassa sur la joue.
Enivré par son doux parfum, il a perdu, pour un court instant, ses repères. Debout, immobile, paralysé face à la beauté ensorcelante de sa dulcinée.
-Si monsieur voudrait bien s’asseoir, dit alors le garçon de salle
-hein!
-monsieur…avec une politesse fort mesurée, le garçon recula la chaise
-ah! Oui …merci bien,..
le garçon présenta la liste des menus au couple…
-Que nous conseillez-vous? dit alors la voix douce au garçon de salle; cette même voix, raisonna dans l’esprit du jeune homme comme un diamant.
-le menu du chef, alors: un filet de b½uf, cuit selon vos goûts, mariné dans une sauce fort tendre, épicée et parfumée au basilique.
En ce qui concerne le vin, je vous conseille du Bordeaux , il accompagne bien le plat.
-On prend deux menus du chef, chéri?
-Hein! Ah..ah… comme tu veux
-Deux menus du chef alors et bien cuits svp…
Le garçon débarrassa la table, mis à leur place une bougie et plaça les couverts….
En attendant, le jeune homme, ne s’est toujours pas ressaisi de la beauté tranchante de sa bien aimée, avec une belle coiffure, des cheveux forts noirs et longs qui lui couvent les épaules, pas trop maquillée, mais qui lui va très bien, une poitrine forte et une fine chaîne lui décore son beau cou avec un scorpion comme signe, des petites boucles d‘oreilles…
-coucou, chéri, tu es là?
Chéri, voilà un mot qu’il n’a jamais rêvé d’entendre auparavant…
Moi :
Chéri, voilà un mot qu’il n’a jamais rêvé d’entendre auparavant, lui dont la vie amoureuse était presque inexistante et dont la vie sexuelle se résumé à un passage dans les bordels de la vielle rue Zarkoun ou à la branlette devant les chaînes TV satellitaires.

Ce mot l’entraîna dans une série de réflexion, il se demanda ce qui pousse une telle déesse à lui adressé la parole, elle qui est mariée à un homme des plus riches et des plus puissant. Il se dit que le jour de revanche de son patron est arrivé ! Toutes ces années passée dans lesquels il n’arrêté pas de le rabaissé !

Le son d’un piano et d’une voix fredonnant un air d’Aznavour le réveilla de ses pensées, il se tourna et ne vit pas sa dulcinée assise à sa place, il s’inquiéta et tourna la tête cherchant sa Venus dans le resto et là ses yeux se posèrent sur le piano, c’était elle qui joué cet air.

Elle était magnifique, le feu des bougies posées sur le piano ajoutait du charme à sa beauté si mystérieuse, le son de sa voix était plus beau que celui d’une sirène du livre d’Homère.

Elle chanté « Mourir d’aimer », il se rappela sa jeunesse et les journées entières passés à écouter cette chanson une bouteille de Vieux Château à la main et il s’est rendu compte de la souffrance que vit cette bonne femme à côté de son tirant de mari et du manque quelle sent au fond d’elle et le s’est promit de la satisfaire et de lui faire oublier tout ce qu’elle a enduré.

La chanson fini, il s’avança ver-elle, s’agenouilla et lui embrassa la main tel un gentlemen. Elle en fut toute excitée, elle n’en revenait plus ! Tout au tour d’eux les applaudissement n’arrêtaient pas, les gents aussi étaient conquis par la beauté et la voix de la jeune dame.

Il lui prit ma main et s’avancèrent ensemble vers leurs table, le serveur leur apporta la bouteille de vin et il commencèrent à discuter.

La jeune dame se senti tout de suite en confiance avec se jeune homme, il lui paressé sincère, gentil et fils de bonne famille. Elle commença à lui parler d’elle et à lui raconter son histoire depuis qu’elle était une simple étudiant dans l’IHEC de Carthage…

Saroukh:
Elle commença à lui parler d’elle et à lui raconter son histoire depuis qu’elle était une simple étudiant dans l’IHEC de Carthage, jusqu'à son mariage forcé avec le banquier…

La lune avait déjà pris sa place, elle berça l'horizon de la douceur de sa lumière, les étoiles se sont éparpillés dans le ciel comme des perles, mieux encore, des diamants...

C'est alors qu'une larme, brûlante et étincelante à l'éclat de la lune, coula des beaux yeux noirs et tendre du jeune homme...,

La jeune fille, d'un geste délicat, passe son doigt sur ses larmes pour les sécher, c'est alors qu'il empoigna sa main et s'empressa de l'embrasser. Ne pouvant l'empêcher de commettre un tel acte, elle tendit ses lèvres, geste pour l'encourager à aller de l'avant.

- Non...dis le jeune homme
- pourquoi? répliqua la jeune fille avec un ton interrogatif, comme si elle voulait savoir quelque chose au plus profond de lui-même
- J'ai juré fidélité, sans qu'elle ne le sache, à une personne que je n'oublierai jamais!
- Ah bon! Qui est-ce ?
- Quand tu as chanté tout à l'heure sur le piano, et quand tu m'as parlé de tes études à l'IHEC de Carthage, tu m'as rappelé cette fille qui était avec moi à la même fac que la notre.
J'étais en dernière année alors qu'elle était en première, elle m'aimait, mais compte tenu du niveau social, fort aisé, dans lequel elle vivait et la misère dans laquelle je vivais, je ne pouvais lui déclarer ma flamme.

Il lança un soupir, comme si sa vie venait de s'arrêter...

Chaque fois que je me disais: "allez courage, c'est le moment de lui parler de ton amour", une barrière venait se hisser entre nous et je rebroussais chemin.
Depuis ma promotion et après avoir trouvé ce travail à la banque, presque dix ans que je n'avais plus de nouvelles d'elle.
- Tu penses que si tu la voyais aujourd'hui, tu la reconnaîtras? Demanda la jeune fille!
- Dix ans peuvent changer un pays, tu crois qu'ils ne changeront pas un humain?
- Peut-être mais pas le c½ur d'une femme, Tawfik!
- Répète un peu...comment tu as su mon prénom??
- Parce que la femme, que tu as aimé et à qui tu as juré fidélité t'aime toujours!
- J'aimerai bien le croire, je donnerai ma vie pour savoir comment elle va? Tu la connais?
- Bien sûr que je la connais, c'est moi Tawfik, tu ne me reconnais plus?
- Mon Dieu, non...ne me dis pas que c'est toi...Hayat?
- Si c'est moi Tawfik, j'ai changé un peu depuis lors, mais mon c½ur a gravé ton image à jamais, au point qu'il ne jure que par ton nom.
Embrasse-moi stp...

Ne pouvant contenir sa joie et son bonheur, il s'approcha d'elle, d'un geste tendre et sensuel, l'embrassa fort, très fort...
Ils n'ont plus envies à la parole; les regards, les embrassades et les caresses sont seuls traducteurs de leurs sentiments.
- garçon, l'addition svp, demanda le jeune homme
Il paya l'addition,
-au plaisir de vous revoir chez nous... dis le garçon de salle
-merci, répondirent tout les deux..

D'un geste tendre lui met son manteau et sortirent ensembles pour se promener le long du corniche du port de plaisance de Sidi Bou Said...

Il était minuit passé, il faisait un peu froid, il l'a serra contre lui tout en marchant, sans pour autant prêter attention au monde qui les entouraient, ni aux voitures qui klaxonnaient et freinaient parfois, ils étaient transportés vers un autre monde, un monde où personne d'autre n'était avec eux.

Seuls, entrain d'échanger le bonheur de leur retrouvaille après tant d'années loin l'un de l'autre.
L'amour était leur guide, leur bien être, leur joie de vivre, elle courrait sur la plage, il aimait voir et entendre son éclat de rire, elle l'éclaboussait de temps en temps avec ses pieds, parfois avec ses mains.
Exténuaient, ils se sont assis, sur un rocher qui surplombait le milieu du rivage, pour donner repos à leurs âmes perdues...
La lune se promenait le long des vagues, les étoiles éparpillés au-dessus d'eux, leurs c½urs en marais haute, ils se sentaient si bien l'un contre l'autre qu'il empoigna sa main, et l'embrassa très fort...
Une brise vint caresser ses cheveux, aux rythmes des vagues, se sont mis à danser, tout en s'abandonnant et s'adonnant à lui, il l'a serra contre sa poitrine...
- Tawfik, amène moi chez toi...demanda la jeune fille avec un air et un regard tendre et amoureux...

Moi :
Là il était partagé entre l’envie diabolique qui l’envahissait et le choc que cette déesse va avoir quand elle va voir le désordre dans son appart, et là il repris avec tact :

Lui : pourquoi aller chez moi ? C’est très loin ! Allons plutôt chez toi, tu m’as bien dit que ton mari n’était pas là ce soir ?

Elle : ah !! C’est vrai !! En plus j’ai du champagne au frais !!

Il lui sourit et l’embrassa, puis elle démarra sa bagnole et quittèrent ensembles la marsa pour aller à la villa de la cité Ennasr où vivait cette déesse.

Arrivant là-bas la femme rentra la voiture au garage et ils rentrèrent dans une villa, plutôt dans un château.

Elle l’embrassa tendrement, le pris par la main comme un petit bébé et l’attira vers le premier étage où se trouvait la chambre à coucher.

Elle lui fait signe de se mettre à l’aise et elle se dirigea vars la salle de bain de la chambre.

Il s’est versé une coupe de champagne, retira sa veste et dénoua sa cravate et l’attendit impatiemment.

Un quart d’heure après, la porte de la salle de bain s’ouvrit et un ange apparu vêtu d’une petite nuisette moulante.

Il n’en croirait pas ses yeux ! C’était la plus belle femme qu’il n’avait jamais vue !

Elle s’approcha de lui, mit du Barry White comme musique de fond et se coucha sur le lit !!

Il s’approcha d’elle et commença à l’embrasser et à la caresser. Elle lui enleva sa chemise et sont pantalon, pris un morceau de glace dans le seau de champagne et le lui fait passé sur le corps commençant par les lèvres et arrivant jusqu’au bat ventre, il était surexcité, il n’en pouvait plus, il voulais ne jamais la quitter !

Il lui enleva sa nuisette qui fait apparaître un corps sculpté comme une oeuvre de Michel Ange et une poitrine qu’en dirait refaite par le meilleur des chirurgiens plastique du monde !!

Il l’embrassa, et commença à caresser ses seins tout en les embrassant….

Et là un bruit étrange résonna dans le rez-de-chaussée……………..

Zyeux :
Le corps de tawfik se crispa instantanement comme parcouru par un courant electrique , en une seconde tout une successions d'evenement se succederent dans sa tete que faisait deja tourne le vin et le champagne : " mon boss est revenu , il va me trouver avec sa femme , ma carriere professionnelle est foutu en l'air , je risque le prison pour l'adultere , ce sont mes parents qui mourront de honte et de rage , comment m'enfuir .." .
Hayat aussi fut momentanement immobile , puis un rire chaud et presque enfantin echappa de sa gorge : " n'est pas peur cheri , ce n'est que Minouche mon chat qui recherche son diner , en fait j'ai oublier de lui ouvrir sa boite , tu me permet d'aller le faire ? "
" Bien sur va s y amour , je t'attends "

Il entra dans la salle de bain , se denuda et lanca le jet d'eau sur son dos en fermant les yeux essayant de profiter de ce massage improvise, l'eau chaude sur son corps lui faisait tellement du bien surtout avec toutes les sentations fortes qu'il a eu pendant la soiree , il ne s'apercu que Hayat etait a cote de lui sous la douche , que quand elle a pose ces douces mains sur torse . Il se retourna vers elle , approcha doucement son visage du sien , le desir qu'il lu dans ces yeux n'a fait qu'enflammer a nouveau le sien , ils s'embrasserent longuement , en allant a l'avant de plus en plus , leurs langues dancerent une valse enlacees . Ils soterent de la salle de bain , Tawfik avait la jeune femme entre ces bras , comme ci c'etais sa premiere noce , il l'allongea sur le lit , se placa tout a cote d'elle , et recommenca a la caresser doucement , le visage , le cou , les seins qui se gonflerent sous l'effet du desir , le ventre lisse et si tendre , les jambes et l'entre-jambe fre****ants qui avait le toucher du soie , son sexe qui devenait de plus en plus humide et chaud . Tout deux avaient le souffle de plus en plus court , leurs corps criaient de desir et instinctivement , tout deux voulurent allonger au maximum ces instants magiques de volupte et de sensations inegalees ...
Quand au petit matin , ils reveillerent tout deux , las mais combles , ils passerent un long moment a se regarder , les yeux dans les yeux . Ils n'avaient pas de mots pour exprimer ce qu'ils sentaient , juste un silence charge de tendresse et de joie . Tawfik fut le premier a quitter le lit , il entra dans la salle de bain , prit sa douche et alla a la cuisine chercher le petit dejeuner pour lui meme et son amante . En preparant le cafe , les images de ces ebats avec Hayat peuplaient son cerveau , il se souvenait de ces ge****ement , de la chaleur de son corps , de son crie quand elle a jouit entre ces bras . Rien des details n'echappa a son inventaire , comme s'il voulait impregner en lui cette nuit magique .
Il la trouva encore au lit , les premier rayons de soleil caressait son corps nue et sevre d'amour , telle une chatte se prelassant elle vena a sa rencontre , pris le plateau richement garnis de ces mains , le posa sur la commode a sa droite , et l'enlassa de toute ces forces " Je t'aime , j'ai jamais connu une jouissance et un bonheur pareil cherie , jamais , jamais je m'imaginais que l'amour pouvais procurer de telles sensations " lui murmura t elle . Sentant que son amant de la nuit , sous l'effet de cette bouffee de sentiment , a repris du poil de la bete , elle l'attira encore a elle , le fit allonge sur le lit, et commenca de caresser son corps tout lentement , tout doucement . Son sexe se dressa et durcit encore , elle le prit dans sa bouche , joua avec la langue , les dents , les levres , mordiallant , chatouillant , montant , descandant .. . Tawfik dont l'experience avec la fellation se resumait a des professionnelles sans conviction ni sentiment , redecouvrait avec delices cette finesse et ce raffinement . Il sentis le plaisir monter de ces reins , mais tawfikne voulait pas jouir de cette facon , il renversa Hayet et la penetra centimetre par centimetre , et commenca son va et vient sur un rythme croisssant , allant de plus en plus vite , attentif aux desirs de sa partenaire qui fermait ces yeux et semblait voyager avec lui vers l'extase . Quand ils arriverent ensemble aux portes du nirvana , leurs cris de jouissance resonnerent longtemps dans la chambre ...
La tasse de cafe entre les mains , une cigarette a la bouche , Hayat regardait Tawfik se rhabiller , elle etait dechire entre l'envie de le garder encore pret d'elle , et la peur que son mari rentre inopportunement :
" Amour , je te raccompagne a Tunis ? "
" Non cherie , repose toi , je vais y aller en taxi "
" Amour , est ce que je te revois cet apres midi ? Tu sais que ce soir mon mari sera ici , et je pourrais pas sortir "
" Je t'appellerais tout à l'heure , et nous conviendrons du programme "
" Amour , fait attention a toi "
" T'en fait pas cherie , maintenant de ferais encore plus attention a moi , car je t'appartient , et je prendrais soin de toi et de tout ce que tu cherisse "
" Je t'aime "
" Je te venere Hayat , je refermerais la porte derriere moi ..."

RoseDeSable :
Du regard, Hayet suivit son amant du soir quand il sortit de la pièce, elle écouta ses pas descendant les marches et longtemps après son esprit l’a cherché et son c½ur battait.

Taoufik s’en alla, restée seule Hayet s’étira paresseusement, cette femme gracieuse et sensuelle a souhait, elle mit les mains dans ses cheveux, poussa un soupir, Taoufik l’a appelé ma tigresse, et c’était bien ce qui la décrivait le mieux, oui une tigresse qui savait retenir sa proie, aucun moyen d’échapper a son ensorcellement, elle a bien mené Taoufik dans un tourbillon de sensations jusque la inconnus par lui, Hayet savait très bien que l’amour se prouvait aussi en gestes, elle se rappela une citation qu’elle a lue dans quelque roman : « si tu prétends aimer alors autant savoir faire les gestes de l’amour ».

Le visage se mutant dans une expression de rêverie mélancolique, elle ferma les yeux pour mieux imaginer la tête de Taoufik, il n’était pas vraiment beau, ses traits irréguliers, un front saillant, un nez pointu et long, des cheveux noirs coupés très courts, presque rasés, sans doute qu’il préférait les couper très courts parce qu’ils étaient crépus, et il avait un corps bien bâti. Pas beau mais il avait un air fier et brave, il dégageait une sérénité et bonne foi qui mit très vite Hayet en confiance avec lui, et surtout son regard, oh quel regard il avait, c’était le genre d’homme auquel une femme pouvait se donner rien que pour être regardée de la façon dont Taoufik le faisait avec elle, tantôt affamés tantôt curieux ses prunelles brillaient de mille feux, un feu lent et intarissable passionné et sauvage, son regard s’est infiltré dans ses veines en criant son amour…Amour ? Elle l’avait appelé Amour, bonté divine..


A ce point de ses pensées Hayet se redressa, exaspérée et amère, faisant quelques pas, elle se dit qu’elle doit en finir avec cette histoire et au plus tôt, non mais amour.. comment ai-je donc pu le lui dire se dit-elle…elle riait maintenant, d’un rire nerveux, eh bien le rideau est descendu sur la première partie de cette comédie.. ce n’était pas si difficile à la fin..non mais amour…


Sous la douche Hayet pensa que tous les moyens sont bons pour sauver son vrai amour, c’était cette comédie ou la mort.. Mais la vie n’est-elle pas une comédie humaine dont les ficelles ne sont pas forcément tirées par nous-même.. Hayet, elle, était résolue a prendre en main les ficelles de la vie de son fils, Taoufik l’a appelé tigresse, mais elle était bien plus que cela, elle était une lionne rugissant de tous ses crocs pour sauver le seul homme qu’elle puisse aimer, le seul homme pour lequel elle vient de se sacrifier, son fils..

Maintenant, elle se sait damnée, elle a commis la trahison, trahir son foyer, trahir son corps, son corps…son corps est brisé, il n’est plus, il est brisé, seul et corrompu, si seulement elle pouvait pleurer, mais les les pleurs coulaient dans son c½ur, brûlants comme le jet d’eau qui brûlait son corps.. Pourvu qu’il emporte les saletés de cette supercherie accrochés dans ses pores.. Sa dernière pensée en fermant le robinet fut pour sami son fils, elle joignit les mains et se dit ou es tu mon enfant, sauve-le mon dieu, sauve-nous…….

Milook :

hayet passa sa journée e ressasser cette soirée .....son degout pour elle meme croissait en meme temps que pour cette fulgurante et soudaine passion pour cet homme .. que devait elle faire .;;elle qui n n avait jamais vraiment choisi dans sa vie .. l enjeu de cette journée et de montrer que tout est comme d habitude pensa t elle .; aller au travail , recuperer son fils , enmener les affaires au pressing , en bref vaquer a ses occupations quotidiennes....lorsque la sonnerie de son portable la tira de ses pensée..la voix etait rauque et familiere .. mais meconnaissable ......:<< alors ? on joue du piano ? je vous ai vu hier soir avec l autre,il en faut du courage pour s exposer ainsi a la vue de tous ..malgres tout je vous ai trouver magnifique et ma seule question est celle ci ..qu allez vous faire madame maintenant pour acheter mon silence ?
petrifiée hayet balbutia : mais mais qui etes vous ? .....je .. je ne sais pas de quoi vous parlez .?!!
son interlocuteur eclata de rire.. un rire fort seduisant au passage ..je pense qu il faut que nous parlions madame ...une voiture passera vous chercher devant le sheraton a 17h .. soyez ponctuelle.. je deteste attendre ...


à vous de jouer :)